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"On risque de pleurer un peu si l'on s'est laissé apprivoiser..."

"On risque de pleurer un peu si l'on s'est laissé apprivoiser..."
  • Vous aurez bien sûr reconnus une citation célèbre de St Excupéry ! Ici, sont regroupés tous les poèmes (ou textes) que j'ai écrits, plus quelques citation comme celle-ci qui me parlent... C'est un petit bout de ma vie !
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29 juin 2016

Ce matin...

C'est étrange ce vide en moi,
Je ne l'avais pas ressenti depuis longtemps.
C'est un trou noir qui se nourrit de mes émois,
J'aimerai qu'il me reste peu de temps.

Peu de temps pour continuer à me faire dévorer,
Peu de temps à éprouver cette colère.
Mais il me faudra encore collaborer,
Qu'elle est puissance cette dernière.

Même si j'ai réussi à faire un choix,
O combien fût-il à prendre,
Je reste avec mes questions à la noix
Avec cette envie de tout rendre.

Rendre tous mes sentiments,
Rendre mes tripes et ma vie.
Mais cela sera dans un autre moment,
Aujourd'hui, je suis juste en mode survie.

Ju

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30 mai 2016

Nouveau support

Bonjour,

Pour les personnes qui aiment lire ce qui a été écrit ici, je continue sur une page Facebook : Yüna Léã - Writing

Les derniers poèmes ne reflètent pas vraiment ce que j'écris d'habitude... Je suis plus "fine" en règle générale ! ;)

Bonne lecture.

13 mars 2016

avec un peu d'aide...

Lièvre malhabile
Et lapine fébrile.
Voir ton dos charmant
Révèle mon désir ardant.
En une manoeuvre agile
Ton prince puissant
Tout tambour battant
Entame cette danse érectile !

13 mars 2016

Là, je crois que j'ai la dalle !

Félicité de l’Amour,
Elan de générosité,
Lassitude dans le geste,
Le rythme changeant,
Agitation des sens,
Tenter de résister,
Intense chaleur
Ondulation du corps,
Nuage et volupté en cette fin.

Ju.

 

Avoir un pouvoir certain;
Vôtre dévouée, pour vous servir.
Avoir ce regard coquin,
La gardienne de vos désirs.
Enfin ce soulagement divin,
Rugissements de plaisir.

Ju.

24 février 2016

Il ?

Ici, tout est fragile, Là, je me fais docile, Mais je me découvre moins agile Et tout devient difficile. Ici, il est faut être habile, Là, je deviens débile, Que suis-je alors sur cette île Que forme mon savoir imbécile? Mais, regardant au-delà de mes cils, Un monde aux allures faciles S'offre à mes idéaux futiles Et mes fantasques idylles. Pauvre malhabile, Faites d'argile ; Chante avec Basile Échappatoire de cet asile. Ju.
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23 octobre 2015

Dans le train, pour cette journée!

Quelque part dans le néant, Les contours de son visage se définissent. Les détails ? Rien de probants, Seulement cette sensation qui glisse. Quels anges voit-on ici, cher manant? Seulement des ombres qui jouissent, Avant que la vérité ne les rendent changeants, Que l'on distingue leurs abysses. Qu'il est doux cet instant, Où tout est encore possible, lorsque nos yeux se plissent, Et donne aux Autres ce que l'on voudrait tant, Chaque chose, puisqu'imaginée, est délice. Non, Lumière, prend ton temps, Attend avant que tu ne surgisses, Laisse encore le silence dormant, Tout est si calme pendant cet esquisse. Voilà, il est s'agit plus d'espérer maintenant, Que la vérité jaillisse, Abandon de l'espoir bienveillant, Je ferme les yeux pour cette justice. Ju.
2 octobre 2015

Il y a des matins

Il y a des matins... Plus difficiles que d'autres, Plus absurdes que d'autres. Il y a des souvenirs, Qui jamais ne s'effacent, Qui laissent pour toujours une trace. Il y a des sentiments, Plus revanchards, Encore encore dans nos cauchemars. Il y a des envies, Éternellement insatisfaites, Persistantes les lendemains de fêtes. Et aujourd'hui comme hier, J'ai encore rêvé de naguère. Mais mon réveil est agrémenté De cette émotion peu argumentée. Je hais ce monde et sa frustration, Cette non-chance présente en chaque action. Je me bats pour qu'elle disparaisse, Même la tâche est bien plus ardue que la paresse. Il faudrait alors dire, à tant de choses, au revoir, Pour que demain puisse se faire voir... Ju.
28 juin 2015

Décision?

Et ce sentiment qui me prend, J'aimerai pouvoir le maîtriser ; Mais cela est plus grand que mes ressentiments, Je suis éprise de cet état de crise. Pouvons nous simplement admettre d'être l'amant, De cette mélancolie en l'instant que je trouve alors si jolie ; Il serait trop aisé de se laisser ainsi griser, Par cette fantaisie aussi néfaste que la jalousie. Mais pour combattre cette chose acariâtre, J'aurai tant besoin de ces forces dont je n'aie pris soin ; Serais-je alors à sa merci mettant ma vie en surcis ? Je me laisse le temps d'un ultime contre-temps, D'un changement de cap, d'elle ou moi, si on est cap', Acceptera t elle de m'abandonner sans auparavant me sonner, Ou serais je assez forte pour lui calquer au nez la porte ? Attendre Accepter Se rendre Enfin lutter... Ju.
17 mai 2015

J'y arriverai!

Et on revient à la réalité, On se demande comment continuer. Pourquoi toujours lutter, Pour si peu de bonheur, trop dilué. J'aimerai simplement ne plus avancer, J'aimerai tellement pouvoir arrêter. De tout cela, je suis lassée, Pourrais-je enfin ma vie jeter ? Je n'arrive plus à définir ce qui me retient, Car dans ces événements qui se suivent, Seul l'image du néant me vient, Et d'aucun ne mérite que je survive. Ju.
26 avril 2015

Un week-end intense !

Il y a des événements graves,
Il y a des anectodes plus futiles,
Il y a des moments qui vous marquent à vie
Et il y a des déceptions qui sont dures à encaisser.

Pour tous, il existe une enclave,
Un endroit où l'on se faufile,
Car chacun de nous à son kit de survie
Et même ses meilleurs amis, on se doit de les y laisser.

Il y a de la mesquinerie de caves,
Il y a des annonces malhabiles,
Il y a des larmes qui coulent à vie
Et il y a des tracas qui nous font nous affaisser.

Mais l'amitié est bien plus brave,
Même si les paroles parfois se défilent,
Notre entourage nous aide à ne pas être asservi
Par ces douleurs qu'il faut délaisser.

Car il y a des sourires qui emballissent,
Des caresses qui nous font frissonner ;
Car il y a ces êtres qui restent,
Et des réels instants de bonheurs.

Mais trop souvent, ce sont ces derniers qui glissent
De notre mémoire que l'on ne peut raisonner ;
Elle garde ces douleurs trop indigestes,
Et nous ressert sur un plateau nos petits et grands malheurs.

Car faible est la proportion des personnes qui pleinement jouissent
De leur instantané d'extase et peuvent l'emprisonner ;
Car ce don est rare, j'en atteste,
Et cela rend difficile la plupart de nos heures.

Oserais-je croire qu'un jour le soleil se hissent
Dans mon ciel et se décider à rayonner ;
Qu'il chasse toutes ces nuances de gris que je déteste,
Et dévoile peu à peu toute sa chaleur.

Ju.

2 avril 2015

Une visite !

Comment fait-il cela ? Comment a-t-il pu, en l'espace d'une soirée, mettre le doigt sur tout ce qui pouvait me faire penser à mon ancienne vie, à mon ancien amour...?

Le piano
La Wii
La peinture
...

C'est fou comme la nostalgie est facile et comme elle m'a embrassé toute la soirée. Maisn peut-être que cela rélève juste que depuis que j'ai déménagé (depuis 1 an ou depuis 2 ans), je n'ai rien fait de nouveau, je n'ai pas eu de nouvelles idées, passion,... Comme si je n'avais de "vraie vie" depuis la sépération. Cela n'est pas forcément faux, par ailleurs. J'ai du mal à trouver de l'inspiration ou de la motivation pour de nouvelles choses. Sébastien savait avoir des idées, pas toujours les bonnes bien sûr, mais il savait me suggérer et surtout me faire passer à l'action (surtout à l'achat bien sûr, mais c'était un premier pas et c'est justement celui que j'ai du mal à faire). On n'était peut-être pas le couple du siècle (l'expérience l'a prouvé) mais on se compléter et cela me manque de ne pas être compléter... 

La solutide me pèse, mais c'est aussi toute la vie de couple qui me manque. C'est le fait de ne retrouver personne quand je rentre (pourquoi attendre 19h pour manger alors que l'on est seule??), le fait de ne pas pouvoir échanger (vous savez, ces choses que vous pouvez échanger qu'avec la personne avec qui vous vivez), le fait de juste pouvoir passer un w.e tranquille, sans rien faire de spécial sans que cela ne veuille pas dire sa faire chier seule sur son canap'. J'ai besoin d'être stimulé, j'ai besoin d'être entendue et surtout, j'ai besoin de prendre soin de l'autre (l'écouter, compatir, l'aider, le stimuler)... Cet échange de bon procédé que l'on nomme "couple".

Enfin, je ne sais pas pourquoi c'est difficile, mais mon père, qui ne vient que très très rarement, ne met le doigt que sur ce qui a été ou offert par Séb. Séb... Il me manque. Ou c'est notre vie qui me manque... Mais pour retrouver la vie qui me manque, je suis obligée de passer par des étapes diffciles (et que je ne maitrise pas!) de séduction, d'amourade, de découverte... Je suis peut-être trop exigeante, je suis peut-être pas assez sûre de moi, je ne suis pas un top modèle et je ne suis pas très intéressante...

Quoique je fasse, je reviens toujours à la même conclusion qui me terrifie : Est-ce qu'il n'y avait vraiment pas que Sébastien pour m'aimer et m'accepter ?

28 mars 2015

La rencontre

Je voulais faire un test pour un concours d'écriture, mais peu concluant :

Une fumée s'échappe et son univers fuit,
Terne condensation sur ces vitres souillées,
Elle ne désire que l'abandon de nuit.

Elle ne pourrait rester dans cet enclors douillé,
Avec ses airs de bienfaits arrongants ; nul s'y trompe, 
Elle a tant résisté, mais son âme est rouillée.

De par ses efforts acharnés, ses liens se rompent,
En cette nuit, se sortant de cette moiteur?
Personne ne permettra qu'elle ne s'interrompe.

Elle qui craignait ne pas être à la hauteur,
L'espoir pieux seulement guidant ses humbles choix,
Oui, cette rencontre fut un révélateur :

Une pensée opprimée n'ayant guère choix
Doit s'enfuir pour se développer et germe,
Elle peut alors respirer nous laissant coi.

La rencontre que l'on puisse désarmer,
L'idée ne nait pas que d'un esprit éguisé,
Malheureusement chacun peut en renfermer.

Mais seule une âme acceuillante et avisée
Aura l'audace de dépasser les limites
Alors faites aux ruminants si peu courtisés

Par les vives étincelles cherchant le mythe.

Ju.

2 mars 2015

Mélancolie

Cette mélancolie lancinante, Ce sentiment lointain de tristesse, Ce sont mes sensations amantes, Douces compagnes de détresse. Oh, non, que je suis mélodrame ! Seule et impuissante face à cette vie ; C'est seulement cela mon drame, Etre déraisonnablement sans envie. Pauvre de mon être ainsi chahuté Entre nostalgie dépassée et manque de réalisme, Ce ne sont que des fantômes butés Qui nourrissent de jours en jours mon pessimisme. Quelle lumière suis-je en train d'attendre, La destinée ne s'offre pas sans effort, Je suis consciente de cette naïveté tendre, Qu'est de vouloir un futur plus fort. Belle harmonie d'émotions vaines, La complaisance ici est terrible. Demain fera peut être des idées plus sereines, Et feront s'enfuir les veillées les plus horribles. Ju.
13 janvier 2015

La mémoire...

Dans toutes mes intonations de voix, Dans tous mes rêves. Partout je te vois, Tout le temps, sans trêves. Dans toutes mes expressions, Dans tous mes souvenirs. Sans cesse cette impression, Que jamais cela ne va finir. Dans tous mes regrets, Dans tous mes remords. Je ne parviens à tracer un trait, Car je ne vois que mes tords. Mais dans aucun projet, Mais sans aucun futur. Bien trop de rejets, Une autre forme de torture. Alors comment faire, Pour que sa mélodie s'arrête? J'aimerai tellement la faire taire, Pour que ma vie soit de nouveau une fête. Ju.
12 janvier 2015

Un an...

Il y a un an, je m'effondrais, 6 années et un mois, j'avais compté. En 6 mois, je me relèverai, Car alors, tout s'était arrêté. Aujourd'hui, la souffrance est différente, Mais les plaies sont toujours béantes. Il y a un an, j'avais trouvé bien plus qu'un ami, Aujourd'hui, je suis seule, c'est admis. Quand à l'époque, tu étais parti, Je n'avais pas compris que j'étais hors partie. Depuis, je n'ai fait que fuir, J'ai essayé de reconstruire ; Mais les bases étaient trop fragiles, Et je ne suis assez agile. Je dois tout recommencer, A nouveau essayer d'avancer. Il y a un an, tu m'as anéanti, Comme j'avais pu le faire auparavant ; Il y a une semaine, ma raison a retenti, J'ai compris ce que tu me disais souvent. Mais comment faire pour dans un an, Ne pas être dans ce même néant? Ju.
2 janvier 2015

Le passage

J'ai trouvé mon petit coin de paradis, A dix minutes d'ici je vous le dis. Par des petits sentiers on y accède, C'est un trou paumé je vous le concède. Il y a du bois tout autour, Dont la brume efface les contours. C'est un endroit tout à fait charmant, Mais un brin désarmant. J'irai, une dernière fois, l'admirer, Et j'espère qu'alors vous comprendrez. Ju
2 janvier 2015

J'ai trouvé mon petit coin de paradis,A 10 min

J'ai trouvé mon petit coin de paradis,
A 10 min d'ici, je vous le dis.

Par des petits sentiers on y accède,
C'est un trou paumé, je vous le concède.

Il y a du bois tout autour,
Dont la brume efface les contours.

C'est un endroit tout à fait charmant,
Mais un brin désarmant.

J'irai une derière fois l'admirer,
Et j'espère qu'alors vous comprendrez.

Ju.

30 décembre 2014

Un train

Je me permets de sortir un peu des attributions de ce blog pour partager avec le peu de personnes qui passent par là et qui ne me connaissent pas la période particulièrement difficile que je traverse... Je ne vois plus d'issue... Quelque soit l'endroit où se pose mes yeux, je ne vois qu'une porte fermée. Fermée à clef et bien sûr, je n'ai pas le sésame pour la déverrouiller. Je n'ai pas la force pour la démolir. Je reste devant, le sourire et les bras m'en tombent. Je ne peux plus faire un pas sans être prise dans un piège se refermant sur moi, me laissant suffisamment d'air pour ne pas mourir mais surtout suffisamment peu pour continuer à suffoquer... Comme dans les films avec des âmes perdues, "je crois voir la lumière" ; une faible veilleuse derrière une dernière porte... Elle a la forme d'un train. Pas celle d'un petit train d'enfant, mais d'un beau gros TGV... J'ai récupéré tous les morceaux dont je pensais avoir besoin pour former la clef ouvrant cette porte. J'espère avoir la force de l'ouvrir, car la veilleuse filtrant dessus à l'air si apaisante et si bienveillante... Je me demande même pourquoi je n'arrive pas encore à l'atteindre... Les pièges peut être... Mais j'arriverai à les contourner, je dois étudier le parcours... Apres tout, Je ne l'ai vu qu'hier cette porte, mais c'était comme une évidence... Cela viendra, je n'en doute pas. Mais trop attendre pour l'ouvrir, n'est pas la solution... Allez, encore un peu de courage, un ultime effort et je pourrai être au pied de la porte, y insérer la clef et l'ouvrir... Ju.
20 décembre 2014

Noel

Je hais Noël et son amour,

Car dans la vie de tous jours,

Il est terriblement absent

Et pendant ces vacances, on se ment !

7 décembre 2014

Hier soir... Cette nuit... Ce matin... A...L...I

Y'a des jours comme ça où tout nous échappe,
Il y a des lendemains plus difficiles que d'autres.
J'aimerai éviter que ces pensées me ratrappent,
Mais les volontés de mon esprits sont toutes autres.

Le sexe biaise toutes les relations,
Il ne fait que détruire la magie.
J'aimerai ne pas ressentir cette passion,
Car ma vie, c'est finalement elle qui la régit.

Oh quel bonheur de pouvoir être ivre,
De cette émotion terriblement intense.
On se sent plus que jamais vivre,
Lorsqu'elle entre dans la danse.

Mais, loin de n'être qu'un acte sans importance,
Elle s'imisse dans nos entrailles,
Elle brouille tous les chemins logiques et oblige la pénitance,
Car je ne peux nier que tous mes neuronnes y travaillent...

Ne pas regretter ne veut pas dire
Ne pas souffrir.
Ne pas regretter ne veut pas dire
Que cette nuit n'était pas une bétise ou pire...

J'ai déjà perdu mon meilleur ami
A cause du sexe, mon ennemi ;
Je ne supporterai pas que cela se reproduise,
Mais j'ai peur que mon subconscient n'en fasse qu'à sa guise.

Ju.

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