Serait-ce la plus belle approche du bonheur
L’Amour, c’est une source,
La vie y est intarissable,
Puisqu’il n’y a pas de coupable,
Et que la mélodie est douce...
Tes yeux sont les plus beaux,
Puisqu’ils sont emplis d’étoiles,
Et quand je plonge mon regard dans le tien,
Je suis alors reine d’un empire oublié,
Et comme sur une magnifique toile,
D’un artiste amoureux,
Peinte avec grâce et talent cachés,
Le monde est bien bas mais merveilleux,
J’ai à présent deux raisons de vivre,
Plus grandiose que tous les châteaux,
Plus importantes que tout bien,
Car vivre ou mourir est bien loin de mes soupirs.
Et si tu pouvais lire ce poème,
Tu y trouverais à chaque mot,
Virgule, espace et incertitude,
Un « Je t’aime »,
Innocent, caché et pudique,
Et c’est sans aucune certitude,
Une crainte qui me ronge,
Je te le dirais, crierait même s’il faut,
Ce sentiment unique,
Le rouge sur mes joues... Je prononce...
Quand je suis dans tes bras,
Je me sens forte et vulnérable,
Ce maintient sûr et doux,
Délicatesse et fermeté,
Je fonds, ô pauvre misérable,
Captive de ton cœur et de tes bras,
Cette sensation éprouvée,
Je l’aime plus que tout.
Et pendant cette magnifique soirée,
Cette fête que l’on a organisée,
Dans ce lit où l’on était allongés,
Dans les bras l’un de l’autre serrés.
Un désir, une fièvre,
Une volonté secrète et inavouée,
Aucun mot prononcé à ce moment,
Un baiser, un geste,
Chacun avait compris que plus rien ne serait comme avant,
Puisque l’on s’est regardé,
Et j’aurais tout donné,
Pour que cette fièvre,
A tout jamais reste...
Ju.